Vous ne retiendrez probablement pas leur nom, mais les astronomes, eux, ne sont pas près de les oublier. Les deux exoplanètes que les chercheurs de la Carnegie Institution viennent de découvrir présentent des caractéristiques remarquables. Baptisées GJ229Ac et GJ180d, elles sont à la fois d'une taille proche de celle de la Terre, autrement dit probablement rocheuses, et situées dans la zone habitable de leur étoile respective, c'est-à-dire susceptibles d'abriter de l'eau liquide. Ces deux premiers éléments en font donc des planètes théoriquement propices à l'apparition de la vie. Mais ce n'est pas tout…
Si elles méritent tant d'attention, c'est aussi parce qu'elles orbitent autour d'étoiles parmi les plus proches de notre Soleil. En effet, GJ229Ac et GJ180d orbitent autour de deux naines rouges, Gliese 229 (GJ229) et Gliese 180 (GJ180), respectivement situées à 19 et 39 années-lumière de nous. Si cela peut paraître énorme, c'est très peu à l'échelle astronomique. Ainsi, l'étoile la plus proche du Soleil, Proxima du Centaure, se trouve, elle, déjà à 4,2 années-lumière de lui. À l'échelle de la Voie lactée qui mesure environ 100 000 années-lumière de large, ces super-Terres potentiellement habitables se trouvent donc dans la banlieue du système solaire. Pour toutes ces raisons, même si l'hospitalité des planètes en orbite autour d'étoiles de type naine rouge fait encore l'objet de discussions, il y a fort à parier que GJ229Ac et GJ180d seront parmi les premières cibles des observations des télescopes de nouvelles générations, comme le télescope James-Webb dont l'entrée en fonction est prévue pour mars 2021.
En attendant que ces appareils dernier cri se penchent sur leur cas, les scientifiques disposent déjà de quelques informations sur ces mondes presque voisins. La masse de GJ229Ac et celle de GJ180d équivalent à 7,9 et 7,5 fois celle de la Terre. La première tourne autour de son étoile en 122 jours et la deuxième en 106 jours. Enfin, alors que GJ229Ac est la super-Terre potentiellement habitable orbitant autour d'une étoile qui possède une compagne de type naine brune la plus proche de nous, GJ180d constitue la super-Terre « tempérée » dont l'orbite n'est pas verrouillée (contrairement à la Lune qui présente toujours la même face à la Terre et à la majorité des exoplanètes en orbite autour de naines rouges) la plus proche de nous. Une caractéristique qui augmente encore un peu les chances que GJ180d puisse abriter la vie…
Le "temple des crânes", la "comète de l'apocalypse"... Le plus ancien monument de pierre de la planète est au carrefour de bien des théories.
Éternel optimiste, Elon Musk annonce à la Nasa que son Starship sera prêt fin 2021 ! Et de lui proposer de l'utiliser plutôt que le Space Launch System qui accumule retards et dépassement de budget. Bien que le développement du Starship ait débuté, avec un premier « vol » à 18 mètres de haut et un autre prévu cette semaine à 200 mètres, personne n'imagine SpaceX capable de tenir ce délai.
Des astronomes de l'ESO ont découvert un trou noir de petite taille à seulement 1.000 années-lumière de la Terre. Une découverte très inattendue et qui laisse présumer que la Voie lactée compte bien plus de trous noirs qu'on ne le pense. Les explications de Thomas Rivinius, scientifique de l'ESO et auteur principal de l'étude publiée ce jour au sein de la revue Astronomy & Astrophysics.
Des astronomes de l'ESO ont découvert un trou noir de petite taille à seulement 1.000 années-lumière de la Terre. Une découverte très inattendue et qui laisse présumer que la Voie lactée compte bien plus de trous noirs qu'on ne le pense. Les explications de Thomas Rivinius, scientifique de l'ESO et auteur principal de l'étude publiée ce jour au sein de la revue Astronomy & Astrophysics.
Des astronomes de l'ESO ont découvert un trou noir de petite taille à seulement 1.000 années-lumière de la Terre. Une découverte très inattendue et qui laisse présumer que la Voie lactée compte bien plus de trous noirs qu'on ne le pense. Les explications de Thomas Rivinius, scientifique de l'ESO et auteur principal de l'étude publiée ce jour au sein de la revue Astronomy & Astrophysics.